RAYON LIVRES

Catherine Lovey: Un roman russe et drôle. Editions ZOE, 2010

Livre publié avec le soutien du Conseil de la Culture du Canton du Valais et du Département des Affaires culturelles de la Ville de Genève.

« Il s’agit de vous éviter des ennuis et la meilleure façon d’y parvenir, c’est encore de ne pas les chercher.
-    Je vous entends bien. Je ne veux pas d’ennuis. Je souhaite juste écrire un roman russe.
-    Excellente idée ! Ecrivez un bon roman russe plein de rebondissements et laissez l’affaire Khodorkovski en dehors de tout ça. Ce sont pas les sujets qui manquent de nos jours ! Une belle histoire d’amour post-soviétique, non, ça devrait être dans vos cordes… »

Valentine Y. s’entête. Elle quitte son pays et s’enfonce dans la Russie.

Catherine Lovey est l’auteur de deux romans, l’Homme interdit, qui a reçu le Prix Schiller découverte, et Cinq vivants pour un seul mort.

A propos de l’auteur

Nadia Sikorsky

Nadia Sikorsky a grandi à Moscou où elle a obtenu un master de journalisme et un doctorat en histoire à l’Université d’État de Moscou. Après 13 ans passés au sein de l’Unesco, à Paris puis à Genève, et avoir exercé les fonctions de directrice de la communication à la Croix-Verte internationale fondée par Mikhaïl Gorbatchev, elle développe NashaGazeta.ch, premier quotidien russophone en ligne, lancé en 2007.

En 2022, elle s’est trouvée parmi celles et ceux qui, selon la rédaction du Temps, ont « sensiblement contribué au succès de la Suisse romande », figurant donc parmi les faiseurs d’opinion et leaders économiques, politiques, scientifiques et culturels : le Forum des 100.

Après 18 ans en charge de NashaGazeta.ch, Nadia Sikorsky a décidé de revenir à ses sources et de se concentrer sur ce qui la passionne vraiment : la culture dans toute sa diversité. Cette décision a pris la forme de ce blog culturel trilingue (russe, anglais, français) né au cœur de l’Europe – en Suisse, donc, son pays d’adoption, le pays qui se distingue par son multiculturalisme et son multilinguisme.

Nadia Sikorsky ne se présente pas comme une "voix russe", mais comme une voix d’Européenne d'origine russe (plus de 35 ans en Europe, passés 25 ans en Suisse) au bénéfice de plus de 30 ans d’expérience professionnelle dans le monde culturel – ceci au niveau international. Elle se positionne comme médiatrice culturelle entre les traditions russes et européennes ; le titre de sa chronique, "L'accent russe", capture cette essence – l’accent n’étant pas une barrière linguistique, ni un positionnement politique mais une empreinte culturelle distinctive dans le contexte européen.

L'AFFICHE